Jolie petite histoire
(et en échange, Vincent m'expliquera pourquoi Dobby est cupide, je ne comprends pas là)
Il était une fois une shinigami, une crevette et une elfe qui étaient en déprime. Elles décidèrent donc de se retrouver pour parler, manger, pleurer et encore manger. Elles commencèrent par s'installer sur un banc d'où elles pouvaient admirer des filets dont la ressemblance avec des préservatifs acheva de les attrister, les problèmes sentimentaux étant au coeur de leurs déprimes (pour les filets-capotes, allez au Palais-Royal, je vous jure que l'association d'idée se fait d'elle-même).
"J'ai faim" dit l'une des trois et elles se dirigèrent alors vers la rue Saint-Anne, où les attendait un lieu magique débordant de sushis, de makis, de riz à la sauce soja sucrée et de brochettes (mais comme en vrai on n'est pas dans un conte, il a fallu payer à la fin).
Un peu revigorées par ce plantureux festin, nos trois protagonistes envoyèrent valser les notions de régime et d'alimentation équilibrée en s'engouffrant dans une enseigne d'un célèbre glacier. Elles firent la rencontre d'une accorte vendeuse qui les servit fort généreusement. Elles auraient bien dit "Mille merci gente dame, la douceur de vos glaces n'a d'égale que celle de votre sourire qui réchauffe nos coeurs meurtris" (mais faut pas déconner, les glaces ça fond donc faut les manger vite, ya pas le temps pour les compliments à rallonge)
Bref, elles la remercièrent et allèrent s'asseoir près d'un bassin, lui-même près d'une pyramide, elle-même près d'un palais, lui-même près d'un Macdo. Elles savouraient leurs glaces quand leur vision fut obstrué par un importun qui avait fort piètre allure avec sa chemise violette mettant en valeur son ventre proéminent. Le personnage se livrait de plus à une activité des plus étonnantes: il semblait en effet se parler à lui-même. Le mystère fut éclairci quand nos perspicaces héroïnes remarquèrent le fil qui quittait son oreille pour lézarder sur sa chemie moulante et atterrir dans sa poche: l'homme était au téléphone via son kit main-libre!!!!
Que se passa-t'il alors? Il essaya semble-t'il d'entrer en contact avec nos trois séduisantes déprimées mais au moment où il leur adressa la parole, la crevette qui n'avait pas remarqué le mouvement d'approche du douteux personnage lança une répartie qui fit énormément rire la shinigami et l'elfe. Croyant qu'on riait de lui, le beauf (bah ouais, un type avec une chemise violette criarde ouverte sur le torse vous appelez ça comment?) tint ce langage à son oreillette:
"Quant t'as pas le feeling, t'as pas le feeling...J'ai essayé tout à l'heure avec une Russe superbe et bah...et là encore...Mais avec des moches hein, moches de chez moches"
Indignées, elles se jettèrent sur lui, l'étripèrent et son souvenir vécut longtemps sous la forme de petits bouts de tissu violets distribués comme talisman aux enfants pour les empêcher de devenir des goujats. (non en vrai, on a fait genre on n'était pas vexées...D'ailleurs on ne l'est pas. Pas du tout. Du tout)
Il était une fois une shinigami, une crevette et une elfe qui étaient en déprime. Elles décidèrent donc de se retrouver pour parler, manger, pleurer et encore manger. Elles commencèrent par s'installer sur un banc d'où elles pouvaient admirer des filets dont la ressemblance avec des préservatifs acheva de les attrister, les problèmes sentimentaux étant au coeur de leurs déprimes (pour les filets-capotes, allez au Palais-Royal, je vous jure que l'association d'idée se fait d'elle-même).
"J'ai faim" dit l'une des trois et elles se dirigèrent alors vers la rue Saint-Anne, où les attendait un lieu magique débordant de sushis, de makis, de riz à la sauce soja sucrée et de brochettes (mais comme en vrai on n'est pas dans un conte, il a fallu payer à la fin).
Un peu revigorées par ce plantureux festin, nos trois protagonistes envoyèrent valser les notions de régime et d'alimentation équilibrée en s'engouffrant dans une enseigne d'un célèbre glacier. Elles firent la rencontre d'une accorte vendeuse qui les servit fort généreusement. Elles auraient bien dit "Mille merci gente dame, la douceur de vos glaces n'a d'égale que celle de votre sourire qui réchauffe nos coeurs meurtris" (mais faut pas déconner, les glaces ça fond donc faut les manger vite, ya pas le temps pour les compliments à rallonge)
Bref, elles la remercièrent et allèrent s'asseoir près d'un bassin, lui-même près d'une pyramide, elle-même près d'un palais, lui-même près d'un Macdo. Elles savouraient leurs glaces quand leur vision fut obstrué par un importun qui avait fort piètre allure avec sa chemise violette mettant en valeur son ventre proéminent. Le personnage se livrait de plus à une activité des plus étonnantes: il semblait en effet se parler à lui-même. Le mystère fut éclairci quand nos perspicaces héroïnes remarquèrent le fil qui quittait son oreille pour lézarder sur sa chemie moulante et atterrir dans sa poche: l'homme était au téléphone via son kit main-libre!!!!
Que se passa-t'il alors? Il essaya semble-t'il d'entrer en contact avec nos trois séduisantes déprimées mais au moment où il leur adressa la parole, la crevette qui n'avait pas remarqué le mouvement d'approche du douteux personnage lança une répartie qui fit énormément rire la shinigami et l'elfe. Croyant qu'on riait de lui, le beauf (bah ouais, un type avec une chemise violette criarde ouverte sur le torse vous appelez ça comment?) tint ce langage à son oreillette:
"Quant t'as pas le feeling, t'as pas le feeling...J'ai essayé tout à l'heure avec une Russe superbe et bah...et là encore...Mais avec des moches hein, moches de chez moches"
Indignées, elles se jettèrent sur lui, l'étripèrent et son souvenir vécut longtemps sous la forme de petits bouts de tissu violets distribués comme talisman aux enfants pour les empêcher de devenir des goujats. (non en vrai, on a fait genre on n'était pas vexées...D'ailleurs on ne l'est pas. Pas du tout. Du tout)